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L’incinération, une technologie rigide

L’incinération, une technologie rigide et dangereuse

Là où il y avait 100 personnes atteintes de cancer en 1978, il y en a 135 aujourd’hui, à population comparable (1) !

Dans le contexte d’une telle épidémie, les informations que le CNIID déterre jour après jour prennent tout leur sens. Ainsi, par exemple, il y a trois ans, le CNIID a révélé l’existence d’une étude française effectuée dans le Doubs. Les endroits dans lesquels le risque de tomber malade du cancer sont supérieurs à la moyenne se trouvent justement autour de l’incinérateur de déchets local (2). Il s’agit d’un résultat plutôt inquiétant, surtout lorsqu’on sait qu’il existe plus de 120 incinérateurs de déchets ménagers en France (3).

Lorsque vous achetez du lait en supermarché, la loi interdit en principe que sa contamination en dioxines ne dépasse 3 pg/g de matière grasse (4). Le lait maternel des femmes françaises contient, en moyenne, plus de 15 pg/g (5). Cette année, le CNIID a fait sortir des tiroirs une étude de L’INSERM ayant pour sujet l’incinération des déchets et la naissance de bébés mal formés dans la région Rhône-Alpes (6).

Il en ressort « un risque élevé et significatif des populations exposées », allant jusqu’à 51 % de malformations en plus pour les bébés nés de femmes vivant à proximité d’incinérateurs. D’autres pollutions menacent la nature et l’être humain, qu’il s’agisse des décharges, des déchets hospitaliers ou plus généralement des "Polluants organiques persistants" (POPs). Grâce à ses salariés à plein temps et ses bénévoles, ainsi qu’aux 220 associations de la Coordination nationale pour la réduction des déchets à la source, réseau dont nous assurons le Secrétariat, le CNIID mène des campagnes de long terme afin de mettre fin à cette guerre chimique.

"Ce n’est pas de la vapeur d’eau, c’est de la vapeur d’eau minérale qui sort de nos cheminées", a déclaré un jour le responsable d’un incinérateur de Paris dans Libération. En matière de propagande, l’industrie de l’incinération a toujours fonctionné sur le bon vieux principe selon lequel plus le mensonge est gros, mieux ça passe.

L’incinération pose fondamentalement deux types de problèmes. D’une part, le plus connu aujourd’hui concerne la santé publique. En plus d’être à elle seule une des trois principales sources de contamination par les dioxines, un rapport commandé par le ministère de l’Environnement place les incinérateurs de déchets en tête de toute autre source de pollution de l’air pour certains des métaux lourds les plus dangereux, tels que le mercure (7).

D’autre part, il s’agit de l’une des technologies de traitement de déchets les plus rigides. Une fois qu’un incinérateur est construit, il faut le rentabiliser sur 25 ans en "nourrissant le monstre" avec un flux constant de déchets. Comme cela fut le cas dans l’Hérault, des contrats prévoient même explicitement des amendes si les communautés de communes mettent en place des solutions alternatives qui feraient baisser le tonnage amené chaque année à l’incinérateur. En d’autres termes, d’un point de vue économique, l’incinération empêche tout effort de réduction des déchets à la source digne de ce nom.

Dioxine : le meurtre chimique

Le ministère de l’Environnement, a estimé qu’entre 1800 et 5200 français meurent chaque année d’un cancer provoqué par la dioxine (17). Trois mois plus tard, Vivendi - “Véolia environnement” aujourd’hui - affirmait de manière tout à fait logique que « les toxicologues s’accordent à dire que les dangers dus à l’absorption des dioxines sont très faibles » (18). En effet, que valent quelques milliers de vies humaines par rapport au chiffre d’affaire d’une telle multinationale ? Enfin, moins de 1 % des dioxines sont d’origine naturelle et 99% sont produites par des industries comme celle de l’incinération, qui est l’une des principales sources (9). L’industrie de l’incinération n’est pas la seule à émettre des dioxines ? Cela fait une belle jambe aux personnes qu’elle empoisonne. Et depuis quand un meurtre serait-il acceptable “parce qu’il y en a d’autres qui font pareil” ? Ce qui nous amène au troisième constat de notre enquête sur le meurtre chimique : les criminels sont clairement identifiés, il s’agit des industriels de l’incinération et des politiciens qui les soutiennent. De même, les victimes sont connues : il y a d’une part les voisins d’incinérateurs, d’autre part la population dans son ensemble, puisqu’elle est nourrie avec des aliments souillés. Certains objecteront que les victimes n’ont pas de nom. Bien qu’il soit possible de prouver qu’il y a plus de cancers autour d’un incinérateur, lorsqu’on regarde les choses au niveau individuel, la maladie a pu effectivement être provoquée par la dioxine, mais il peut y avoir, pour une personne donnée, d’autres explications : tabac, pesticides, etc. Donc les meurtriers à la dioxine ne peuvent être condamnés puisqu’il n’est pas possible, au niveau individuel, d’établir de lien direct de cause à effet.

Cette approche est sans fondement. Pour ne prendre qu’un exemple, les faits divers des journaux relatent de temps à autre le fait qu’un criminel a parfaitement les conséquences. Second constat : la dangerosité mortelle de l’arme chimique utilisée est établie. Les études épidémiologiques sur les maladies que subissent les voisins d’incinérateurs de déchets donnent des résultats dévastateurs. A B e s a n ç o n , « le risque de développer un lymphome malin non-Hodgkinien [cancer, NDLA] est 2,3 fois plus élevé pour les individus résidant dans la zone la plus exposée aux retombées de dioxines que pour ceux habitant la zone la moins exposée [...]. » (11). L’étude réalisée par l’Institut national de santé et de recherche médicale sur les 70 incinérateurs de la région Rhône-Alpes et leur incidence sur la naissance d’enfants mal formés conclue que « des risques significatifs pour les populations exposées sont observés pour [...] les anomalies chromosomiques et les autres malformations majeures ». De plus, « une différence d’incidence nettement significative est observée avec un risque plus élevé pour les populations exposées après le démarrage de l’incinérateur qu’avant » (12).

Ces résultats ne font que confirmer ce que les associations membres de la Coordination nationale pour la réduction des déchets à la source constatent depuis longtemps sur le terrain. Épaulés par le CNIID et des médecins locaux, elles alertent sur les concentrations de cancers autour d’incinérateurs comme à Halluin, dans le Nord, Nivilhac, en Bretagne, ou Albertville. Et les preuves au niveau international ne manquent pas. En Italie, en 1976, une usine de pesticides explose à Seveso, envoyant un nuage de dioxines dans l’air. Les études épidémiologiques montrent « plus qu’un doublement du risque de cancer du sein » pour les femmes exposées de manière plus importante que les autres. De plus, les lymphomes non-hodgkiniens

- cancers de la rate et des ganglions

- ont été multipliés par 2,8

pour les habitants de la zone la plus exposée aux dioxines (13).

Cependant, les gens vivant dans un rayon de 10 à 15 km d’un incinérateur ne sont pas les seuls concernés : pour la population générale, il est estimé que 90 % de l’empoisonnement par les dioxines proviennent de la contamination de la nourriture, la dioxine se concentrant principalement dans les graisses animales : fromages, lait, oeufs, poisson, viande, etc. (9). En 1998, le Comité de prévention et de précaution, organisme dépendant du faire manger aux gens des OGM dont ils ne veulent pas. Et “le risque zéro” existe pour les incinérateurs de déchets que les populations ont renvoyé dans les cordes : ils n’existent pas et représentent donc un “risque zéro”.

En fait, l’approche la plus rationnelle en matière de santé publique est : “Aucun risque évitable n’est accept a b l e ” . Nous sommes bien obligés d’accepter le risque de mourir écrasés par une météorite, par exemple. Mais rien ne nous oblige à sacrifier notre vie ou celle de nos enfants afin d’engraisser le compte en banque des actionnaires de Véolia Environnement ou Suez, enthousiastes producteurs de dioxines avec leurs incinérateurs de déchets. Surtout lorsque l’on sait qu’il est possible de remplacer les incinérateurs par une politique de prévention des déchets. Dans le Massachusetts, aux Etats-Unis, la production de déchets toxiques a été divisée par 2 en 10 ans (4)... Maintenant que nous avons clairement posé les bases de la discussion - à savoir que nous ne sommes pas des moutons que l’on envoie à l’abattoir “parce que” -, on peut développer une réflexion sérieuse sur la dioxine et le meurtre chimique. L’utilisation de ce terme en choque certains ? Savent-ils qu’il y a très peu de temps, à peine une cinquantaine d’années, dire que les femmes devraient avoir le droit de vote passait pour extrémiste ? Les femmes ont dû se battre contre des idées reçues. Sur le même registre, l’idée selon laquelle un industriel ou un homme politique peuvent tranquillement planifier des meurtres à l’aide de machines appelées “incinérateurs” peut être évaluée de deux manières : avec les tripes, ou avec Experts en... ân

• L’idée de génie

L’incinérateur d’Albertville a été fermé en 2001 suite à la découverte d’une contamination record en dioxines. Mais selon Marie- Gabrielle Philippe, sous-préfète de Savoie, « les conséquences sur la santé humaine ne sont pas si graves et le taux de sur - mortalité [autour de l’in - cinérateur] est à rapprocher de celui de 800 % provoqué par le tabac ». Mme Philippe a trouvé là un concept original : que les cancéreux de l’amiante la ferment, “y’a pire ailleurs”, que les victimes d’attentats cessent de geindre, “y’a pire ailleurs”, etc., etc. (7).

QUEL est le plus grand gâchis que l’on puisse imaginer ? Une barque remplie d’experts qui se dirige vers les chutes du Niagara... avec une place vide. Cette boutade de Paul Connett, grand écologiste américain, n’est pas sans fondement. Le nombre d’âneries que nous serinent les experts est tout simplement impressionnant. Voici un exemple parmi d’autres qui prouve que l’interprétation des chiffres à laquelle se livre un expert est, par nature, subjective.

En 1991, le ministère de la Santé demande au Conseil supérieur d’hygiène publique de France de donner son avis sur la Dose journalière admissible (DJA) qui devrait être appliquée en France en matière de dioxines. Une telle limite est très simple : elle s’exprime en picogramme (0,000000000001 gramme) de dioxine par kilo de poids corporel et par jour (pg/kg/j). Les inénarrables professeurs Narbonne et Keck, les Dupont et Dupond de la santé publique française, proposent alors une DJA « à 1 pg/kg/j ». Cependant, étant donné qu’« une étude réalisée en RFA [ex- Allemagne de l’Ouest] estime la dose moyenne ingérée par l’homme à environ 1,3 » , ils concluent que « ceci rend donc irréaliste toute DJA infé - rieure à cette valeur » (5).

Si le thermomètre indique de la température, il faut changer sa graduation. C’est ce genre d’“expert” qui encore aujourd’hui vous parle des dioxines et de leur impact sur la santé de vos enfants...

• Sagesse

La loi de base en matière de santé publique est : “Absence de preuve n’est pas preuve d’absence”.

• Tactique

Avec les connaissances dont nous disposons aujourd’hui, lancer des recherches supplémentaires sur les dioxines revient à mesurer (notre niveau d’empoisonnement) pour éviter d’avoir à prendre les mesures (politiques) qui s’imposent, à savoir la mise en place immédiate d’un moratoire sur toute construction d’incinérateur.

< Les autorités ont interdit l’accès à une partie de la zone contaminée par l’incinérateur d’Albertville. Lors de l’inauguration, en 1985, le maire insista sur les « préoccupations d’environnement qui ont présidé à la construction de cette usine » (6). Vingt ans après, on recommence ? le cerveau. Il est sans doute préférable de privilégier la seconde approche. Références à l’appui, comme dans un procès de cour d’assises, nous allons donc voir si les industriels de l’incinération, producteurs de dioxine, et les politiciens qui les soutiennent, sont responsables de meurtres chimiques. Pour ce faire, il suffit d’employer les critères utilisés pour les meurtres “à l’ancienne”.

Il est tout d’abord nécessaire de caractériser l’arme utilisée, en l’occurrence une arme chimique. Bien que nous parlions de la dioxine au singulier, il s’agit d’une large famille de composés toxiques. Les premières études sur la question ont commencé il y a presque un demi-siècle, en 1957, suite à un accident dans une usine de fabrication d’herbicides aux États-Unis (8). Depuis, sa puissance toxique, qui se compte en millionième de millionième de gramme, a occupé des générations de chercheurs, au point d’en faire l’un des toxiques les mieux étudiés au monde. Une recherche sur Internet fait apparaître littéralement des milliers d’études sur la question. Il en découle un premier constat : aujourd’hui, les utilisateurs de cette arme ne peuvent prétexter d’un manque de connaissances pour continuer à l’utiliser sur des êtres humains. En effet, suite à ces recherches scientifiques, entre autres celles menées par le ministère de l’Environnement des États-Unis, on sait depuis plus de 10 ans - au moins - que la dioxine tue en provoquant de nombreux types de cancers : estomac, poumons, foie... (9). Cet état de fait est confirmé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) depuis 1997 (10). En plus du cancer, la dioxine s’attaque à notre reproduction : malformation à la naissance des organes sexuels, baisse de la fertilité, endométriose (développement anarchique de cellules dans l’abdomen de la femme), etc. ; à notre système hormonal, avec pour conséquence le diabète, des maladies du cœur, etc. ; et à notre système immunitaire, d’où une remise en cause de notre capacité de résistance face aux maladies infectieuses, etc. (9).

Ainsi, de la même manière qu’une personne appuyant sur la gâchette d’un pistolet ne peut prétendre qu’il ne savait pas que cette action pouvait entraîner la mort de l’être humain visé, la décision de construire une machine qui enverra des dioxines dans l’air que respirent les habitants des alentours constitue un acte dont l’auteur connaît

Le trucage des chiffres : un sport olympique

LES industriels de l’incinération, aidés en cela par le ministère de l’Écologie, truquent les chiffres de pollution des incinérateurs “modernes” de différentes manières. En voici trois, mais il y en a d’autres... La dioxine n’est la plupart du temps mesurée qu’une fois par an, et les exploitants sont prévenus à l’avance ; tous les chiffres officiels représentent donc 3 à 6 h de fonctionnement, alors qu’un incinérateur recrache des dioxines plus de 7500 h par an. Une telle extrapolation n’a strictement aucune valeur scientifique. Ainsi, des incinérateurs qui prétendaient émettre 0,25 ng/m3 de dioxines suite à de telles évaluations ont été soumis à des mesures en continu pendant des périodes de 15 jours (14). L’étude scientifique conclue que « la mesure habituelle sous-estime les émissions moyennes par un facteur de 30 à 50 » (15).

De plus, les chiffres officiels ne prennent en compte que la fumée (et on vient de voir comment...). Or, un incinérateur rejette des dioxines par tous les bouts, entre autres sous la forme de cendres contaminées appelées “mâchefers”. Un rapport réalisé par le ministère et les industriels conclue que l’on trouve en moyenne dans un seul kilo de ces cendres toxiques 10 ng de dioxines (16). C’est 100 fois ce qui est en théorie autorisé pour un m3 de fumée. Et l’industrie produit plus de 3 millions de tonnes de ces “mâchefers“ par an, dont beaucoup sont “recyclés” en travaux routiers... Enfin, les résultats sont la plupart du temps présentés sous la forme : “tant de dioxine dans 1 m3 de fumée”. Or les nouveaux incinérateurs sont jusqu’à 100 fois plus gros que les anciens. Pour comparer sérieusement, il faut évaluer la totalité des fumées rejetés, qui est jusqu’à... 100 fois plus importante avec les nouveaux incinérateurs. Aïe !